Turambar Kandarar

Nom: Kandarar

Prénom: Turambar

Surnom : Teñvel Kallon (cœur sombre dans un ancien dialecte désuet à notre époque)

Sexe : masculin

Age : Il va fêter ses 1000 ans cette année ce qui donnera lieu à un grand spectacle dans l’empire Atalantea … vous n’êtes pas à l’abri de surprises …

Île où vous habitez : Résidence principale sur l'île de Firin. C'est sur cette île qu'il passe le plus clair de son temps laissant à ses fils la liberté de jouir de ses autres domaines. C'est sur cette île que se trouve son palais, en plein coeur de Daedeloth, la capitale.

Race : Atalantae

Métier ou rôle : Grand Empereur Atalantea

Physique :
Turambar ne fait pas défaut à son peuple. Il est l’incarnation type d’un Atalantea de souche. Il en possède toute les caractéristiques : teint pâle, allure élancée, bonne taille (1m96), beauté fulgurante bref inutile de passer plus de temps sur ces détails observables au premier coup d’œil et passons aux particularités de Turambar. Dès son plus jeune âge il sera initié à l’art de la guerre disposant ainsi d’un corps que l’on pourrait qualifier de parfait où les muscles se dessinent à merveille. Sa beauté implacable n’est salit que par un défaut une cicatrice au niveau de son œil gauche, acquise à l’âge de dix ans (son premier combat à mort). Ses cheveux mi-longs aux reflets argentées, ses yeux céruléen et les traits fins de son visage terminent le tableau de maître dont ses parents sont les auteurs. Ses trois fils possèdent chacun des traits de leur père sans pour autant lui ressembler. Niveau vestimentaire, Turambar se pare de vêtements de couleurs plutôt sombres. Pour ce qui est de la coquetterie et autres apparat, il porte toujours son ceinturon, au creux duquel est sertie une pierre philosophale, mais aussi des babioles et des étoffes décorées d’or pour montrer sa richesse.

J’oubliais un détail, vous vous êtes certainement posé la question. Cet homme ne parait pas l’âge qui lui est donné... Ceci est du à sa pierre philosophale qui ralentit le temps et les années.


Histoire :

De la genèse à l'avènement :
Turambar naquit il y a près de 1000 ans. C’était un jour d’orage, jour qui marquera l’histoire … Dans le palais des femmes, une dame d’une grande élégance, la femme de l'Empereur Algianor, père de Turambar s’éteignit alors qu’elle donnait la vie. Les bruits du tonnerre grondant couvraient les cris de douleur de la reine ainsi que ses pleurs. A chaque nouvelle contraction le calvaire se faisait de plus en plus oppressant. Finalement le bébé s’en sortit indemne. Lorsqu’il ouvrit les yeux pour découvrir le monde sa mère les ferma, elle, pour toujours. Le bébé sourit à la vue de sa mère gisant dans une marre de sang. Etait-ce de l’insouciance ou une jubilation face à son premier crime ? Il fut immédiatement emmené par deux grosses mains, resta étendu, là, le visage paisible, un léger sourire sur les lèvres. Ces deux grosses mains étaient celles de son père. Il conduit l’enfant dans l’état, au palais principal, sans même attendre les premiers soins du nouveau né. C’est ainsi que se passèrent les premières heures de Turambar. Très joyeuses, me direz-vous… Vous n’êtes pas au bout de vos surprises...
Turambar fut élevé sans nourrice, ni aucune autre attention. C’est son père qui se chargea de son éducation. Il sera bien sûr élevé à la Kandarar. Très vite, il apprit les différents rouages pour mener le monde à la baguette. Il fit ses armes dès son plus jeune âge, montrant une grande agilité au combat et un redoutable esprit belliqueux. Il n’abandonnait jamais, se donnant toujours à fond et souriant lors des attaques. Il mena d’ailleurs son premier combat à mort, duquel suivirent une longue série, à l’âge de dix ans. Il en garda une marque sous la forme d’une cicatrice à l'œil gauche due à une épée. Lors de ce combat il aurait pu perdre la vue ou pire la vie. Certain diront que c'est un coup de chance, d’autres qu’il l’a fait exprès, car juste après cela le démon qui sommeillait encore en lui s’anima brusquement et entièrement. Le sang coula sur son iris, semblant colorer celui-ci. Plus étrange encore, l’iris droit prit une teinte rougeâtre également. Il essuya d’un revers de la main sa paupière et, à la vue du sang, ses yeux flamboyèrent de plus bel, agitant en lui un ardent désir de tuer. Son adversaire, après ce coup, finit en pâté pour chien, et ce n’est que peu dire. Il se déchaîna sur celui-ci, si bien qu’à la fin on ne put savoir si son rival avait été un humain ou une bête. Après cela, il ne se contenta plus d’assommer ou de blesser. Non, à chaque combat, il se devait de mettre fin à la vie de ses adversaires, et là encore en éternel insatisfait, il devait faire de la chair à pâté de son antagoniste, de la charpie méconnaissable. Même au cours des entraînements où il luttait contre les meilleurs soldats de l'Empire, il ne pouvait leur laisser la vie sauve, si bien qu’au final personne ne voulait plus se battre contre lui. Son père même commençait à le craindre.
Son fils qui était jusque-là sa fierté, et en qui il voyait le plus grand Empereur Atalantea que Seleneï ait jamais porté, devenait au fil des années le monstre sanguinaire qu’il avait lui-même créé. Aucun retour en arrière n’était possible. Seule solution encore envisageable : un meurtre. L’idée de mettre fin aux jours de son fils lui était insupportable mais les différentes éventualités se refermaient peu à peu sur cet unique choix. Plusieurs tentatives échoueront lamentablement jusqu’au jour où Turambar tuera de ses propres mains son père.
Ce jour-là, Algianor était installé dans son bureau, remplissant divers papier. Quand Turambar entra, il comprit immédiatement la raison de sa venue et se laissa faire. On retrouva le roi dans un bain de sang. Etrangement, il était en assez bon état. Les coups portés avaient été direct pour qu’aucune souffrance n’ait lieu, et, on doit le dire, de manière très propre comparé à ses combats habituels. Le lendemain, Turambar accéda au trône. Il était le nouvel Empereur Atalantea de la dynastie Kandarar.

Esprit de famille ?
Une cérémonie de sacrement eut lieu une semaine après l’inhumation d’Algianor. Le destin de l’empire Atalantea fut scellé ce jour-là. Le jubilé, très formel, ne dura que le temps d’un discours officiel au peuple, Turambar ne souhaitant guère passer par le long protocole habituel.
Très vite il s’empara de tous les pouvoirs ne laissant rien de coté. Ses subordonnées apprirent rapidement, à leur dépend, que les missions qui leurs étaient confiées ne pouvaient se solder par un échec. Turambar réorganisa l’empire au plus profond de ses fondements. Il hiérarchisa complètement la société qu’il dirigeait. Tout devait être sous son contrôle, sans aucune faille. Parmi les grandes réformes qu’il institua nous pouvons citer le sanca (cérémonie de passage à l’âge adulte), un service militaire obligatoire de 10 ans pour les hommes et 5 ans pour les femmes (lors de ce service les Atalanteas sont formés de façon à devenir des guerriers et conditionnés comme de véritables kamikazes). Bien d’autres lois virent le jour. L’empereur ne se limita pas au coté militaire et entreprit des changements à tous les niveaux : politique, économie, recherche, santé… L’empire connu une véritable révolution. Très vite ce big bang eut des répercussions et les Atalanteas connurent un essor plus que positif.
A l’aube de ces 100 ans il décida de se marier pour « former » sa descendance. Egwiël Kilian fût sa première femme, une femme d’une grande beauté. Seulement il s’avéra qu’elle était improductive. Il la brûla donc pour avoir osé le tromper de la sorte. Plusieurs années plus tard il retenta l’expérience avec Sandara Cantabile. Là encore une femme très belle, fille d’un riche bourgeois, à peine âgée de la vingtaine alors qu’il en avait plus du triple. Mais qu’importe, comme le précédent ce mariage était sans amour. Elle enfanta d’un premier fils dans la première année suivant l'union : Alec. Rappelons simplement qu’il est destiné à prendre la suite de son père en tant qu’héritier du trône et qu’il fût formé dès que Turambar le jugea nécessaire en tant qu’héritier du trône. Bien avant cela l’impératrice enfantera de deux autres enfants 18 ans après Alec pour le premier et 9 ans après pour le benjamin. Leurs noms respectifs Ango et Arkam Sarkis. Turambar avait désormais passé les 200 ans quand l’impératrice mourut d’une maladie incurable. C’est alors que le grand empereur décida qu’il était temps.
Pendant le centenaire où il avait pris soin de construire sa descendance les Atalanteas avait continué de prospérer mais il était temps de remettre un nouveau coup de fouet dans cette société qui commençait à s’essouffler. Le prince héritier n’eut plus un moment de repos. Son père en fit son nouveau cheval de bataille, le conduisant peu à peu sur ses traces. Il devint finalement chef des armées. C’est alors qu’il fut temps pour Ango Eressea de prendre les armes tandis que le dernier fils, Arkam, restait au palais des femmes. Le second fils, ne reçu pas toute la patience de son père qui le trouvait bien médiocre par rapport à Alec. Pour son père il ne sera qu’un moins que rien et il mis assez vite un terme à son apprentissage. Ango finit par s’éloigner de son père. Arkam suivit de peu et subit un sort similaire. Jamais il n’arriva à satisfaire son père malgré tout ses efforts. Il n’était qu’un faible aux yeux de l’empereur. Arkam fit tout pour plaire à son père jusqu’à atteindre le fond de l’abysse. Face à la non reconnaissance, Arkam prit le chemin de la rébellion et fonda un mouvement opposant à l’empire. Plus tard, Alec le rejoignit puis se ravisa après plusieurs années de combat et redevint le fidèle « chien » de son père qui lui redonna la direction de l’armée. Arkam fini par baisser les bras à son tour et de fil en aiguille rendit son père propriétaire du royaume de Fìrimar. S’ensuivit de véritables croisades pour la conquête de tout Seleneï. Turambar tenta à plusieurs reprises d’annexer toutes les îles à son empire mais la lutte fût acharnée. Les peuples rivaux furent loin de se laisser faire. Et après 500 ans de guerre la carte resta inchangée mis à part quelques petites terres par-ci par-là et des éclatements de la population Atalantea un peu partout sur Seleneï. Pendant une période d’environ 200 ans une accalmie prit place. La paix semblait régner de nouveau mais tout le monde savait que tant que Turambar était au pouvoir ce rêve resterait une utopie. Finalement l’histoire donna raison aux pensées profondes des peuples de Seleneï. Depuis quelques années, Turambar emploie toutes les forces de son empire dans le but d’une nouvelle guerre.

Caractère : Fidèle serviteur de lui-même Turambar n’obéit qu’à ses propres ordres. Son éducation a fait ce qu’il est aujourd’hui : un être démoniaque sans aucune compassion ni pitié. Des rumeurs courent sur le fait qu’il aurait passé un pacte avec un démon. Il n’en est rien. Sa nature chaotique est née de son propre chef. Ne vous méprenez pas l’empereur noir n’est pas insensible. Il sait ressentir amour, joie et affection. Mais son amour il le porte pour la guerre, sa joie pour sa proie qui implore sa pitié devant la mort et son affection pour le trépas de ses ennemis. En parlant d’ennemis, tout le monde est ennemi potentiel à ses yeux mais pas seulement. A vrai dire il est apprécié du peuple Atalantea mais surtout craint, et même ses proches ne lient aucune amitié avec lui. Il est aussi un éternel insatisfait désirant toujours plus que ce qu’il possède, raison pour laquelle il veut conquérir Seleneï. La recherche de plus de pouvoir est ce qui guide sa personne. Entre autre il est aussi intelligent, brutal disons même sanguinaire, impartial et d’un alignement mauvais chaotique à souhait. Il est aussi un excellent stratège, malgré le fait qu'il soit aveuglé par son désir de pouvoir et de conquête.


Armes :
- épée à deux mains. Celle-ci est transmise de génération en génération dans la dynastie Kandarar. Elle est un emblème de la famille et en représente sa puissance. Cette épée est très lourde et difficilement manœuvrable pour le comment des mortels. Grâce au pouvoir de sa pierre philosophale, Turambar à la capacité d'enflammer son épée.
- dague. C'est une dague tout à fait commune mis à part le fait que sa lame est souillée par le sang des milliers d'hommes qu'elle aura tué. Arme de prédilection de Turambar. En effet quand on la maitrise cette arme permet de blesser sans forcément toucher des points vitaux pouvait procurer ainsi à la victime une mort lente et douloureuse.

Pouvoir : Turambar possède une pierre philosophale. Cette dernière a pour caractéristique de le maintenir jeune extérieurement mais aussi intérieurement. Cela est à relier au pouvoir du feu circulant dans ses veines de part cette pierre. Elle lui permet également d'enflammer certains objets par contact notamment l'épée de la famille.

Qualités / Défauts : Des qualités je crois que personne en ce monde pourrait dire qu'il en possède. Mis à part peut être sa femme et encore après toutes ces années passés à ses cotés celle-ci s'effacent en opposition de ses défauts. Force est de constater que tout le monde trouvera mille et une critique à faire sur sa personne. Turambar est loin d'être parfait. On pourrait dire qu'il est l'opposé de la perfection mais la encore tout dépend du point de vue.

Forces / Faiblesses : Sa plus grande faiblesse serait peut être qu'il croit trop en son invincibilité. N'ayant jamais subit de défaite, il se hisse de lui même au rang de dieu et son peuple le voit d'ailleurs comme tel ... ou y est obligé dans le pire des cas. Ses forces rassemblent l'ensemble des aptitudes ou il excelle : combat, politique et autres.

Compagnie : On peut considérer qu'Alec est comme son animal de compagnie !