Seleneï
Vous souhaitez réagir à ce message ? Créez un compte en quelques clics ou connectez-vous pour continuer.


Dans un monde où cohabitent elfes, fées, démons et métamorphes, la guerre est sur le point d'éclater. Saurez-vous l'empêcher ?
 
AccueilRechercherDernières imagesS'enregistrerConnexion
-39%
Le deal à ne pas rater :
Pack Home Cinéma Magnat Monitor : Ampli DENON AVR-X2800H, Enceinte ...
1190 € 1950 €
Voir le deal

 

 Arkam Sarkis Kandarar

Aller en bas 
2 participants
AuteurMessage
Arkam Sarkis Kandarar
Prince Impérial Atalantea, Gouverneur de Firimar
Arkam Sarkis Kandarar


Messages : 50
Date d'inscription : 26/01/2008

Arkam Sarkis Kandarar Empty
MessageSujet: Arkam Sarkis Kandarar   Arkam Sarkis Kandarar EmptyMar 29 Jan - 3:36

Nom: Kandarar

Prénom: Arkam Sarkis

Surnom : Poulpe, poulpinet par Alec depuis qu'il a eu la bonne idée de le surnommer Alinouchéri. Ne tolère pas que d'autres personnes l'appelle ainsi.

Sexe : Masculin

Age : u___u" voyons, ça ne se dit pas des choses pareilles !

Race : Atalantea

Métier ou rôle : Prince impérial Atalantea et gouverneur de Fìrimar.

Île où vous habitez : Fìrimar

Physique :
Arkam n’est pas un homme dénué de charme, bien au contraire, même s’il ne possède pas la beauté et le charisme dont est pourvu son frère aîné Alec. Homme bien bâti, il possède une silhouette fine et élancé avec son mètre quatre vingt onze. De longs cheveux argentés et légèrement ondulés encadrent un visage fin, faisant ressortir son pâle regard oscillant entre le bleu azur et le gris perle. Côté vestimentaire, il a gardé le goût de la couleur, contrastant ainsi avec les tenus sombres de ses congénères à la cours impériale. Il aime toujours porter bijoux et autres babioles, se coiffer avec raffinement et originalité, sans pour autant paraître ridicule. Bref, il fait très attention à l’image physique qu’il renvoi, allant même jusqu’à s’épiler les sourcils ou rehausser ses yeux de côlh.
Il possède une particularité génétique hérité de son père, comme tous ses frères d'ailleurs : sous le coup de la colère, l'iris de ses yeux passent au pourpre. Parfois même, la couleur rouge sang empli tout le globe oculaire.

Caractère :
Longtemps connu pour son caractère enjoué et festif, le prince Arkam est aujourd’hui encore quelqu’un aimant les plaisirs qu’offre la vie. Cependant, depuis plus d’une dizaine d’années maintenant, il affiche un caractère plus modéré et sérieux qu’auparavant. On attribue cela au choc que représenta la perte de son conseiller. En réalité le prince à toujours aimé consacrer du temps a diverses études et expériences magiques, même si ce côté de sa personnalité restait dans l’ombre. Puis ce n’est pas lors de ses nombreuses fêtes et apparitions publiques qu’il affichait le plus de sobriété. Finalement, on peut affirmer que le visage insouciant qu’il est si prompt a montré n’est qu’un masque servant à cacher sa solitude et son malaise…

Armes : La lance ou la faux et parfois l'épée.
Arkam Sarkis Kandarar Armesqj0

Pouvoir :
Manipulation du feu et des créatures qui y sont lié.
Télépathie-télékinésie.


Aime : L'alcool, fumer, faire la fête, son frère, les beaux vêtements, faire de la magie, emmerder son monde...

Aime pas : Perdre au jeu, avoir la gueule bois, être en colère, son père, se salir, abîmer ses chaussures ou vêtements, qu'on le prenne pour un crétin...

Qualités / Défauts : Il sait être patient et appliqué pour ce qui est d'étudier ou d'effectuer de nouvelles expériences magiques, mais ce n'est pas forcément le cas dans d'autres activités. Il aura tendance à prendre sur lui et à ne pas montrer que quelque chose le touche ou le blesse afin de toujours faire bonne figure. C'est ainsi qu'il peut passer pour un idiot. Lorsqu'il s'énerve, il n'arrive pas à se contrôler. En fait, comme il renferme ses sentiments négatifs, il n'arrive pas à les canaliser et explose parfois.

Autres :
Il possède une tâche de naissance en forme de flamme au creux des reins.

Compagnie : Désespérément seul...

Histoire :


Réminiscences :

Tout commença dans la lumière déclinante d’une fin d’après midi torride. Le soleil n’avait cessé de darder le palais d’été de ses rayons tout au long de la journée, dispensant ainsi une chaleur étouffante sur toute la bâtisse. Même le souffle en provenance de la Mer Intérieure n’avait put rafraîchir l’atmosphère ambiante. Le silence régnait dans les couloirs déserts, tous recherchaient la fraîcheur de l’obscurité. Tous, hormis quelques femmes s’affairant près d’une chambre d’où s’échappait le bruit étouffé d’une plainte douloureuse. La porte s’ouvrit à la volée, un cri s’éleva dans l’air. L’une des sages femmes sorti se rafraîchir quelques seconde et redemander de l’eau. L’accouchement se présentait mal ; l’enfant sortant en position de siège avait provoqué une hémorragie et l’on craignait que le cordon ne se soit enroulé autour du cou. Un enfant somnolant dans le couloir s’était levé précipitamment en entendant la femme. Il prit peur en voyant le sang maculant le tablier de cette dernière et quelques larmes s’échappèrent de ses yeux gris limpides. La sage femme n’eut qu’un vague sourire navré envers le petit prince Ango avant de pénétrer de nouveau dans la chambre. Après un temps long et incertain, un nouveau cri se fit entendre suivit de peu par les vagissements d’un nouveau né. Le nouveau prince Atalantea venait de voir le jour, alors même que les derniers rayons de la journée disparaissant derrière l’ombre des collines se dressant à l’ouest…

Le jeune prince Ango était surexcité. Alec, son frère aîné, venait de rejoindre le palais afin de rendre visite à sa mère et de saluer son nouveau frère. Le garçon fut autorisé à s’introduire dans la chambre. Des persiennes de bois laissaient la pièce baigner dans l’obscurité et conserver un peu de fraîcheur. Près du lit, il put distinguer son aîné penché au-dessus du visage blême de sa mère. La beauté de la femme était ternie par la fatigue. Elle était tellement lasse, qu’elle ne remarqua même pas l’arrivée de son second fils. Elle ne pourrait plus donner la vie, sans en payer de la sienne. Alec lui, se redressa et fit signe à Ango de repasser plus tard. Quelques gémissement s’échappèrent d’un berceau près des deux protagonistes et de petites mains potelées apparurent, voulant saisir quelque chose qui était inaccessible au nourrisson.

La même pièce quelques années plus tard. Une femme de santé fragile contemplait le paysage à sa fenêtre, l’air triste et mélancolique. Un adolescent entra poliment, accompagné d’un enfant aux cheveux clairs et aux même yeux gris que son frère et sa mère. Le jeune prince Ango Eressea, secondé de son cadet Arkam Sarkis, venait tenir compagnie à la noble Atalantea. L’adolescent s’efforçait de faire la lecture à son auditoire, alors que le plus jeune des garçons avait visiblement du mal à tenir en place.

La semaine suivante, il ne fut pas aisé d’expliquer au plus jeune des princes que son frère était parti aux côtés de son père. Ce père dont il ne connaissait rien, ce père qu’il n’avait aperçu que de rares fois au palais… Pourquoi lui avait-il enlevé son seul camarade ? Et ce n’est pas l’arrivée d’Alec qui le consola. Ce dernier intimidait fortement le garçon et se révélait être trop vieux pour lui servir de compagnon de jeu… Et quand enfin le garçon commença à s’attacher au jeune homme sombre qui était son frère, celui-ci fut rappelé au palais principal.

Les années passèrent dans la monotonie écrasante du palais d’été, ou palais des femmes, et le petit garçon turbulent avait laissé place à un adolescent espiègle. Au lendemain de son dix septième anniversaire, on lui annonça qu’il était temps pour lui de servir son père et empereur. Cette nouvelle le mit dans un état de surexcitation et d’angoisse sans précédent, car cela signifiait aussi qu’il passait de l’état d’enfant à celui d’homme. Passage symbolisé par une cérémonie bien connue de chaque Atalanteas et à laquelle chaque enfant est préparé : la cérémonie du Sanca.

Peuple guerrier, les Atalanteas ont pour réputation d’être étranger à la pitié te de ne pas connaître la peur… La cérémonie du Sanca peut en partie l’expliquer : à chaque solstice d’été tous les fils ayant atteint l’âge de 17 ans sont invités à participer à cette cérémonie religieuse. Ils suivent de nombreux rites de purifications et une fois bénis par les autorités religieuses, observent un jeûne de trois jours dans un isolement totale. Le quatrième jour, au moment où le soleil atteint son zénith, des groupes de dix jeunes gens sont formés et rejoignent les arènes du pays. S’ensuit alors un jeu barbare et sanguinaire : les dix adolescents ont pour but de s’emparer d’une relique sacré et de la garder en leur possession jusqu’à ce que le soleil ait dépassé l’horizon. Ceux-ci sont donc obligé de s’affronter toute l’après-midi durant sous un soleil de plomb et amoindri physiquement. La manoeuvre consiste à former les meilleurs guerriers possible, quitte à supprimer les éléments faibles. Car depuis l’avènement au trône de Turambar, il est de coutumes que des armes soient distribuées aux garçons et que le combat dure jusqu’à la mort…

La cérémonie du Sanca à laquelle Arkam participa, bien que brève, fut d’une rare violence. En effet, le soleil n’avait pas parcouru les deux tiers de sa course jusqu’à l’horizon que le prince se tenait hébété, relique en main, au milieu de neuf cadavres. Quoi qu’on en dise, ce passage marqua à jamais le jeune homme qui ne se pensait pas capable de tels actes. Son enthousiasme naturel s’en trouva affecté durant de longues semaines après cet évènement.

Le séjour auprès de son père fut une période de constant calvaire pour le cadet de la famille. Entraînement intensif au maniement des armes et de la magie, étiquette, codes et autres règlements absurdes à respecter, voilà qui constituait l’ordinaire. Arkam brûlait de faire ses preuves et que son père daigne lui accorder un regard, alors il se plongea corps et âme dans son apprentissage. Et lorsqu'enfin ses efforts attirèrent sur lui l’attention du monarque, ce ne fut que pour se faire briser. Qu’on se le dise, le passe temps favori de l’empereur Atalantea est de voir souffrir autrui. Il n’a aucune considération pour la vie, même celle de son propre sang, et quand il s’intéresse à une personne en particulier ce n’est que pour mieux la détruire de l’intérieur.

Après quelques temps passés sous le statut de victime favorite du dirigeant, Arkam tenta de se supprimer. Sa tentative échoua et son père lui fit bien comprendre que s’il voulait en finir avec la vie, cette décision ne lui revenait pas. En aucun cas Turambar ne laisserai son jouet préférer se briser sans l’avoir lui même décidé. Alors le prince cadet fit tout pour déplaire et se démarquer. Son caractère qui avait été si joviale durant son enfance se fit plus accentué, il se montra de plus en plus irresponsable, ne voulant plus rien prendre au sérieux, et affichait une attitude aux antipodes de celle de son géniteur. Insouciant, volage et désinvolte, il avait trouvé là son seul moyen de survivre à la cour impériale.

Puis vint la guerre… Les fils du souverain Atalantea furent envoyé loin du palais afin de combattre les Nagaerus, peuple de l’ouest belliqueux et ennemis héréditaires de l’empire. Dans la foulée, une alliance avec le royaume indépendant de Fìrimar fut conclue. Une fois la menace nagaeru repoussée, il fut question de consolider l’alliance avec l’île au sud de l’empire. Arkam y fut envoyé en tant qu’ambassadeur et eu tôt fait de charmer l’une des filles du roi. Un mariage fut organisé et célébré sur l’île du centre dans une atmosphère de liesse générale. Mais quelle folie prit donc le roi Milme de marier sa fille à un Atalantea ? Dans l’année suivant le mariage, la famille royale disparu mystérieusement. Ne restait plus qu’Alya unique survivante et femme d’Arkam qui devint tout naturellement reine de Fìrimar. Jusqu’à ce qu’elle tombe enceinte et qu’elle ne meurt, elle et l’enfant, suite à un accouchement particulièrement difficile. La charge de gouverner l’île revint donc au prince devenu roi…

Les années passèrent alors paisiblement pour le prince, loin des tracas de la cour impériale. L’île était plus prospère que jamais et les relations avec les puissances étrangère au beau fixe, cela malgré le tempérament insouciant et peu sérieux du roi au pouvoir. En réalité, il est de notoriété publique qu’Arkam dispose d’un grand sens de la fête et qu’il soit l’un des dirigeants les plus volages de son temps. Il est d’ailleurs tellement connu pour ses frasques amoureuses et ses fêtes somptueuses, que l’on oublie facilement qu’il est le descendant de l’empereur le plus cruel du nord de Seleneï.

En réalité le prince joue constamment le rôle du joyeux luron qu’il s’est lui même créé quelques années plus tôt. Il se retrouve vite victime de cette personnalité dans laquelle il se retrouve piégé et passe la plupart du temps pour un sombre idiot. Il maintiendra ces apparences durant de longues années, sombrant peu à peu dans tous les excès afin de maintenir une apparence qu’il ne gérait plus. Malgré cela, le pays était toujours prospère, devenant même une grande puissance commerciale. Tout ceci fut attribué à la gestion efficace du conseiller personnel du prince roi : Artem Dorialli.

Puis un jour il fut question de rattacher Fìrimar à Firin et ainsi de faire de l’île une province de l’empire Atalantea et non plus un royaume indépendant. Une guerre civile éclata, la conduite d’Arkam fut grandement critiquée, faisant oublier aux foules que celui ci était contre cette annexion. Au contraire, il fut même désigné comme étant à l’origine de tous les troubles et malheurs. Il était le parfait bouc émissaire. Lui qui vouait des visions indépendantistes pour son pays, ne fut remercié que par le mépris et la calomnie. Certaines réactions d’une violence extrême aillèrent jusqu’à l’attentat. D’ailleurs ce jour là, ce n’est pas le prince qui péri, mais son conseiller personnel. Très touché par cette disparition, s’ensuivit un changement au niveau caractériel. Finit le laxisme dont il faisait preuve jusque là et pour ramener le calme dans son pays, il dut faire intervenir des troupes en provenance de Firin. Cela marqua le rattachement définitif de l’île au continent.

Depuis cette période datant d’une petite vingtaine d’années, le comportement du prince Atalantea, et gouverneur de Fìrimar, se fit plus sérieux. Il renoua contact avec la cour impériale et oublia ses idées indépendantistes, tout comme ses amis d’alors. Les mauvaises langues diront désormais qu’il n’est plus qu’un chien au service de son père et elles n’auront pas tort. Il met un zèle particulier à servir l’empereur, peut être cherche-t-il à faire oublier à ce dernier ces précédentes tentatives de révolte ? Toujours est il qu’il est de nouveau sous l’influence extrêmement forte de ce dernier.


..................................................................................


Comment avez-vous connu le forum ? On se le demande dis donc !

Votre présence sur la semaine, sur 7 jours : Euh... ça varie, mais souvent je pense.


Dernière édition par Arkam Sarkis Kandarar le Ven 21 Mar - 20:45, édité 5 fois
Revenir en haut Aller en bas
Eléa Aurë
Reine Sen'yo
Eléa Aurë


Messages : 126
Date d'inscription : 26/01/2008

Arkam Sarkis Kandarar Empty
MessageSujet: Re: Arkam Sarkis Kandarar   Arkam Sarkis Kandarar EmptySam 2 Fév - 21:06

Fiche validée ! ^w^ Un vrai délice à lire !
Revenir en haut Aller en bas
https://selenei.1fr1.net
Arkam Sarkis Kandarar
Prince Impérial Atalantea, Gouverneur de Firimar
Arkam Sarkis Kandarar


Messages : 50
Date d'inscription : 26/01/2008

Arkam Sarkis Kandarar Empty
MessageSujet: Re: Arkam Sarkis Kandarar   Arkam Sarkis Kandarar EmptySam 2 Fév - 22:22

Merciiii ^w^
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé





Arkam Sarkis Kandarar Empty
MessageSujet: Re: Arkam Sarkis Kandarar   Arkam Sarkis Kandarar Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
Arkam Sarkis Kandarar
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» Alec Kandarar
» Turambar Kandarar

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
Seleneï :: Administration :: Présentations :: Fiches Validées-
Sauter vers:  
Ne ratez plus aucun deal !
Abonnez-vous pour recevoir par notification une sélection des meilleurs deals chaque jour.
IgnorerAutoriser